jeudi 19 septembre 2013

Le mystère de "la poche de lait" québécoise enfin résolu...

En fait, les autres francophones de la planète n'ont que très peu de lait frais en vente libre au supermarché (pour votre culture, ce dernier se nomme aussi (la) supérette)! Nous sommes également les seuls au monde à posséder le fameux 4L renfermant les "précieuses 3 poches".

Cliquez juste ici pour En savoir plus...  (Des images convaincantes et des conseils pratiques!)

Au final, nul autre au monde que les Québécois ne ressent le besoin de trouver un substitut plus noble aux dites poches en question, afin d'éviter les disgracieux: "Qui a encore oublié de couper la poche?" entendus au quotidien dans ce coin-ci du globe.

Des suggestions?  Je jure que je les envoie à OQLF (Office québécois de la langue française)...

("Sac de lait" ne fonctionne pas, puisque cela fait référence au sac qui contient les "poches"!)

Par contre, vérifications faites, le contenant qui les supporte se nomme pour sa part: le pot à lait.




2 commentaires:

  1. Bonjour Madame Cloutier! Mon commentaire n'est guère pertinent concernant cet article, mais j'étais dans le besoin de connaître la réponse à ma question en rapport avec la mythologie grecque. (plus précisément focusé sur Pandore)

    Si les maux et les soucis n'existaient pas encore quand Pandore s'apprêtait à ouvrir la boîte, comment aurait-elle découvert la curiosité malsaine? Aucun péché n'ayant encore apparu, comment aurait-elle pu se faire manipuler par la curiosité, soit un mauvais défaut si abusé?

    J'attends votre réponse avec impatience,

    Angelina G.
    Bonne journée!

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  2. J'avancerais que la curiosité en soi n'est pas malsaine; pour le devenir, elle doit être teintée de la noirceur qui dort dans le cœur des hommes. Mais la curiosité, c'est aussi la porte d'entrée vers le grand Savoir, vers la conscience. En ouvrant la boîte, Pandore contribue à faire reconnaître au grand jour les maux qui jusque-là semblaient en dormance, précisément parce qu'ils n'étaient pas connus. Valait-il mieux ne pas savoir? Telle demeure la question...

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